mardi 18 décembre 2007

Embauche d'un étranger

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/informations-pratiques/fiches-pratiques/embauche/embauche-un-etranger-660.html
http://www.01net.com/editorial/358777/les-ssii-courtisent-les-ingenieurs-marocains/

mardi 4 décembre 2007

Bernard Liautaud dévoile les étapes de l’intégration de Business Objects à SAP

http://www.decideo.fr/Bernard-Liautaud-devoile-les-etapes-de-l-8217;integration-de-Business-Objects-a-SAP_a2362.html?preaction=nl&id=6537676&idnl=29117&

A l’occasion de la réunion des clients et du club utilisateurs Business Objects qui a eu lieu il y a une semaine, Bernard Liautaud a dévoilé en personne les principales étapes à venir de l’intégration de Business Objects au sein du groupe SAP.



Bernard Liautaud dévoile les étapes de l’intégration de Business Objects à SAP
C'est dans le courant du premier trimestre 2008 que le rapprochement de Business Objects et de SAP devrait se concrétiser. L'OPA officielle est lancée aujourd'hui. Une fusion, Bernard Liautaud l'a rappelé, dans laquelle Business Objects conservera son indépendance opérationnelle et stratégique. Business Objects deviendra l'entité « décisionnel » de SAP et va d'ailleurs, première information importante, récupérer une partie de l'entité « Business Intelligence » de l'éditeur allemand. Ce sont plusieurs centaines d'ingénieurs SAP qui vont ainsi rejoindre les équipes Business Objects.
« Ce rapprochement va nous permettre d'élargir notre portefeuille de produits et de disposer d'une palette de solutions plus large, par exemple dans les domaines du Master Data Management, de la gestion des risques ou encore de l'analyse en mémoire », explique Bernard Liautaud. Cette intégration de solutions SAP dans l'offre Business Objects remplacera en partie des acquisitions que Business Objects avait pu prévoir pour les prochaines années. Parmi les solutions intégrées, l'offre OutlookSoft mais pas en revanche la solution SAP BW trop intégrée au moteur SAP ERP pour en être déconnectée.

Le fondateur de Business Objects s'est également exprimé sur la notion d'indépendance de l'éditeur. « J'ai toujours été un avocat de l'indépendance et de l'ouverture. Ce rapprochement va nous permettre d'offrir plus rapidement des solutions toujours meilleures à nos clients », explique Bernard Liautaud. « SAP s'engage dans une transformation et plonge avec le rachat de Business Objects la tête la première dans le monde de la business intelligence et de la gestion de la performance. SAP n'a pas dépensé autant d'argent (ndlr : 4,8 milliards d'euros) pour juste racheter un peu de business intelligence, et va conserver Business Objects comme une entité indépendante dans sa gestion et dans ses choix stratégiques ».

Et pour montrer que même si une page se tourne dans l'histoire de l'éditeur, son fondateur compte bien faire partie, au moins à court terme, des prochaines étapes, Bernard Liautaud prend vis-à-vis de ses clients cinq engagements :
- Conserver la même mission, c'est-à-dire transformer le monde grâce à l'information intelligente
- Continuer à être ouvert, même si Bernard Liautaud parle maintenant d'ouverture et non plus d'indépendance, en matière de bases de données, de middleware et d'applications ; sans diminution de la capacité d'accès aux environnements Oracle en particulier.
- Protéger l'investissement que les clients ont fait dans leurs environnements Business Objects
- Continuer à investir en recherche et développement pour offrir une plate-forme la plus complète possible
- Améliorer la gestion de la performance au travers d'une suite la plus complète et la plus efficace possible intégrée à l'offre SAP.

Alors que certains concurrents opportunistes vont profiter de cette fusion pour lancer des offres spéciales d'échange concurrentiel, Business Objects devait rassurer ses clients français et leur ouvrir de nouvelles perspectives.

dimanche 2 décembre 2007

10 stratégies efficaces à l’ère de la complexité

http://www.opossum.ca/guitef/archives/003872.html

Une mesure précise est toujours une mesure complexe. (Gaston Bachelard)

Les grands chefs ne s’en remettent pas à des livres de recettes. Ils créent, avec une méthode qu’ils auraient sans doute de la difficulté à expliquer. Dans la même veine, les professeurs du MIT ont appris à composer avec des problèmes d’une immense complexité. Ed Boyden, du MIT Media Lab, a publié un billet intéressant sur les méthodes les plus efficaces en ces temps où les tâches se complexifient (Ed Boyden’s Blog : How to Think).

    1. Synthétisez constamment de nouvelles idées.
    2. Apprenez à apprendre (rapidement).
    3. Procédez à rebours en partant du but.
    4. Ayez toujours un plan à long terme.
    5. Dessinez des cartes de contingence.
    6. Collaborez.
    7. Faites les erreurs au début.
    8. Rédigez des protocoles des meilleures pratiques.
    9. Documentez tout avec obsession.
    10. Préservez la simplicité.

Ce n’est pas tant le fonctionnement du cerveau qui change comme ce qu’on lui demande. Sa plasticité est mise à rude épreuve sous le bombardement des stimuli, l’extension du champ d’action, la diversité et la complexité des tâches (lire compétences), la rapidité d’exécution et la multitude d’outils que la modernité place sur son chemin. Les nouvelles technologies, évidemment, ont changé la donne. Les méthodes traditionnelles de la pensée, quoique toujours valables, ne suffisent plus.

Dans le débat sur la valeur relative des connaissances et des compétences, il me semble que nous négligeons la méthode et des stratégies. Non pas que cela soit d’une grande utilité à ceux qui prônent les premières, mais cela ne peut que clarifier, voire valoriser, l’intérêt pour les compétences.