mardi 18 décembre 2007

Embauche d'un étranger

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/informations-pratiques/fiches-pratiques/embauche/embauche-un-etranger-660.html
http://www.01net.com/editorial/358777/les-ssii-courtisent-les-ingenieurs-marocains/

mardi 4 décembre 2007

Bernard Liautaud dévoile les étapes de l’intégration de Business Objects à SAP

http://www.decideo.fr/Bernard-Liautaud-devoile-les-etapes-de-l-8217;integration-de-Business-Objects-a-SAP_a2362.html?preaction=nl&id=6537676&idnl=29117&

A l’occasion de la réunion des clients et du club utilisateurs Business Objects qui a eu lieu il y a une semaine, Bernard Liautaud a dévoilé en personne les principales étapes à venir de l’intégration de Business Objects au sein du groupe SAP.



Bernard Liautaud dévoile les étapes de l’intégration de Business Objects à SAP
C'est dans le courant du premier trimestre 2008 que le rapprochement de Business Objects et de SAP devrait se concrétiser. L'OPA officielle est lancée aujourd'hui. Une fusion, Bernard Liautaud l'a rappelé, dans laquelle Business Objects conservera son indépendance opérationnelle et stratégique. Business Objects deviendra l'entité « décisionnel » de SAP et va d'ailleurs, première information importante, récupérer une partie de l'entité « Business Intelligence » de l'éditeur allemand. Ce sont plusieurs centaines d'ingénieurs SAP qui vont ainsi rejoindre les équipes Business Objects.
« Ce rapprochement va nous permettre d'élargir notre portefeuille de produits et de disposer d'une palette de solutions plus large, par exemple dans les domaines du Master Data Management, de la gestion des risques ou encore de l'analyse en mémoire », explique Bernard Liautaud. Cette intégration de solutions SAP dans l'offre Business Objects remplacera en partie des acquisitions que Business Objects avait pu prévoir pour les prochaines années. Parmi les solutions intégrées, l'offre OutlookSoft mais pas en revanche la solution SAP BW trop intégrée au moteur SAP ERP pour en être déconnectée.

Le fondateur de Business Objects s'est également exprimé sur la notion d'indépendance de l'éditeur. « J'ai toujours été un avocat de l'indépendance et de l'ouverture. Ce rapprochement va nous permettre d'offrir plus rapidement des solutions toujours meilleures à nos clients », explique Bernard Liautaud. « SAP s'engage dans une transformation et plonge avec le rachat de Business Objects la tête la première dans le monde de la business intelligence et de la gestion de la performance. SAP n'a pas dépensé autant d'argent (ndlr : 4,8 milliards d'euros) pour juste racheter un peu de business intelligence, et va conserver Business Objects comme une entité indépendante dans sa gestion et dans ses choix stratégiques ».

Et pour montrer que même si une page se tourne dans l'histoire de l'éditeur, son fondateur compte bien faire partie, au moins à court terme, des prochaines étapes, Bernard Liautaud prend vis-à-vis de ses clients cinq engagements :
- Conserver la même mission, c'est-à-dire transformer le monde grâce à l'information intelligente
- Continuer à être ouvert, même si Bernard Liautaud parle maintenant d'ouverture et non plus d'indépendance, en matière de bases de données, de middleware et d'applications ; sans diminution de la capacité d'accès aux environnements Oracle en particulier.
- Protéger l'investissement que les clients ont fait dans leurs environnements Business Objects
- Continuer à investir en recherche et développement pour offrir une plate-forme la plus complète possible
- Améliorer la gestion de la performance au travers d'une suite la plus complète et la plus efficace possible intégrée à l'offre SAP.

Alors que certains concurrents opportunistes vont profiter de cette fusion pour lancer des offres spéciales d'échange concurrentiel, Business Objects devait rassurer ses clients français et leur ouvrir de nouvelles perspectives.

dimanche 2 décembre 2007

10 stratégies efficaces à l’ère de la complexité

http://www.opossum.ca/guitef/archives/003872.html

Une mesure précise est toujours une mesure complexe. (Gaston Bachelard)

Les grands chefs ne s’en remettent pas à des livres de recettes. Ils créent, avec une méthode qu’ils auraient sans doute de la difficulté à expliquer. Dans la même veine, les professeurs du MIT ont appris à composer avec des problèmes d’une immense complexité. Ed Boyden, du MIT Media Lab, a publié un billet intéressant sur les méthodes les plus efficaces en ces temps où les tâches se complexifient (Ed Boyden’s Blog : How to Think).

    1. Synthétisez constamment de nouvelles idées.
    2. Apprenez à apprendre (rapidement).
    3. Procédez à rebours en partant du but.
    4. Ayez toujours un plan à long terme.
    5. Dessinez des cartes de contingence.
    6. Collaborez.
    7. Faites les erreurs au début.
    8. Rédigez des protocoles des meilleures pratiques.
    9. Documentez tout avec obsession.
    10. Préservez la simplicité.

Ce n’est pas tant le fonctionnement du cerveau qui change comme ce qu’on lui demande. Sa plasticité est mise à rude épreuve sous le bombardement des stimuli, l’extension du champ d’action, la diversité et la complexité des tâches (lire compétences), la rapidité d’exécution et la multitude d’outils que la modernité place sur son chemin. Les nouvelles technologies, évidemment, ont changé la donne. Les méthodes traditionnelles de la pensée, quoique toujours valables, ne suffisent plus.

Dans le débat sur la valeur relative des connaissances et des compétences, il me semble que nous négligeons la méthode et des stratégies. Non pas que cela soit d’une grande utilité à ceux qui prônent les premières, mais cela ne peut que clarifier, voire valoriser, l’intérêt pour les compétences.

vendredi 30 novembre 2007

E2E100 – Analyse systèmes et diagnostiques avec SAP Solution Manager

Nouvelle formation SAP : http://www.sap.com/france/services/education/newsevents/E2E100.epx

Nouvelles certification SAP

http://www.sap.com/france/services/education/certification/index1.epx

3 niveaux de certification pour 3 niveaux de compétences et d'expertise

Compte tenu des exigences grandissantes du marché vis-à-vis des compétences des consultants SAP, le programme de certification de SAP a été modifié pour proposer 3 niveaux distincts de certification.

SAP Certified Master
SAP Certified Professional
SAP Certified Associate










Que vous soyez consultant junior ou expérimenté, utilisateur-clé, client ou partenaire, la certification SAP peut vous apporter un avantage compétitif non négligeable.

Grâce aux 3 niveaux de certification, vous pourrez non seulement valider vos connaissances théoriques mais aussi votre expérience projet SAP ainsi que la qualité de vos méthodes de travail.

Les employeurs et personnes en charge de l'affectation des consultants sur des missions SAP bénéficieront désormais de nouveaux moyens pour évaluer les différents niveaux de compétences et d'expertise de ces consultants.

Certification « Associate » : l'obtention de ce niveau de certification valide l'acquisition des connaissances fondamentales et compétences de base pour un consultant SAP. Cette certification correspond à l'unique niveau de certification qui existait jusqu'à présent.

Certification « Professional » : ce niveau de certification atteste de la participation réussie à des projets de mise en œuvre de SAP, de la capacité à faire valoir une approche des solutions SAP en termes de processus métiers et d'une connaissance plus approfondie d'une solution SAP.

Certification « Master » : cette certification est réservée aux consultants ayant acquis un fort niveau d'expertise sur un domaine donné et pouvant justifier de la capacité à faire des recommandations à leurs clients en termes d'innovation et d'optimisation des solutions SAP. Ils doivent également bénéficier d'une large expérience projet, d'une excellente connaissance des produits et être en mesure de donner des orientations au niveau de l'évolution du système d'information du client dans des environnements projets complexes.

Ces 3 niveaux de certification seront proposés à la fois aux consultants fonctionnels (ou Solution Consultants) techniques et développeurs.

Des certifications SAP CRM de niveau « Professional » seront disponibles en France à partir de janvier 2008. Durant l'année, de nouvelles certifications de niveau « Professional » et « Associate » seront proposées dans notre centre de formation.

Autre nouveauté : des séances de tests de certification SAP seront bientôt disponibles en province dans les centres Pearson VUE (courant 2008).

jeudi 22 novembre 2007

Liste des entreprises qui ont BW

- Thomson : projet Silicon (projet consistant à mettre en oeuvre tout un process de saisie, d'analyse, de validation des prévisions de vente dans le but de mieux maîtriser la chaine d'approvisionnement); projet Motive (application permettant de gérer des portefeuilles de projets via XRPM, BW et Microsoft Server project), migration vers ECC6. BW - BPS: Projet Supply Chain et mise en place d'un outil de prévision de ventes et de simulation budgétaire via SAP BW/BPS
- Sanofi-Aventis : projet First (Le projet Financial Information Restitution Strategic Tool consiste à mettre en place un outil permettant aux controleurs de gestion de l'entreprise de pouvoir suivre les projets scientifiques de R&D sur des molécules nouvelles. FIRST a été le premier projet à passer en production avec la version BI 7.0 et Integrated Planning.)
- Gaz de France Réseau Distribution : projet Omega (refonte du système de facturation de l'entreprise).
- Gaz de France : SAP BW 3.5 et 7.0. Cubes DSO, BEX, WAD/Analyser/Visual composer
- Plastic Omnium
: projet PAMS (mise en place une solution de reporting BW pour permettre un meilleur suivi des projets R&D).
- Air France : projet GVSTAR (au sein de la Direction des Recettes Commerciales d'Air France, refonte de l'application utilisée pour calculer la recette de la compagnie). SAP BW/BPS 3.5/7.0
- Norbert Dentressangle : mise en place des outils de pilotages SAP BW BI7 (périmètres fonctionnels FI-COPA)
- Groupe Seb : projet de pilotage groupe, mise en place de SAP BI7 - BPS et BIIP.
- Rolex : BW logistique
- TotalFinaElf : BW Achats
- EDF
- Neopost
- Bouygues Telecom : refonte du système d’informations décisionnel financier - Reporting du Chiffre d’affaires de Bouygues Telecom (environnement technique : SAP NetWeaver 2004s - BW 7.0
- Safran : BW pour Sagem Défense Sécurité.
- PSA Peugeot Citröen
- Arcelor : Projet Integrated Demand Planning sous BI Integrated Planning.
- Air Liquide
- Danone
- Gefco
- Adoma
- Lyreco
- Airbus : BWHR, 12 projets BW Airbus (MATR-RFR, ASTRID, IMS, SRS, RMT, AMIS, CIRAS, IPC, ISAIM, DIAM, EDPS, IMASIS)
- AGF
- Cip
- Roquette
- Disneyland
- Heineken : migration de reportings de statistiques de ventes et de marges de contribution depuis Oracle Express vers SAP BW (v3.5)
- L'Oréal
- France Telecom
- Universal
- Valéo
- Universal
- Takeda
- Saint-Louis Sucres
- Pimkie
- Sanofi Pasteur : application de budgétisation avec SEM BPS, application de saisie des ventes avec SEM B (outil BPS (masques de saisie, formules FOX, montage des interfaces, STS, WAD...)
- Alcatel Lucent : système de pilotage commercial pour l’ensemble du groupe, à destination du top management.
- Latécoère : cubes et report BW
- Eurocopter
- Aéroport de Paris (ADP): SAP BI (v7)
- BNP Paribas
- Autoroute du sud de la France
- ST MICROELECTRONICS : TMA BI 7
- BSN Glasspack : BW (APO)
- Renault :
- Marie Uniq : BW
- DGGN (Gendermerie) : BW HR
- Lyonnaise des eaux : BW
- Baron Philippe de Rothschild : BW PP et BO sur BW
- Adisseo : BW (PA/paie/Time/Formation)
- SUD-CHEMIE : BW
- Decathlon : BW HR
- Pimkie : BW HR
- AirSEC : BW (MM, SD)
- Eurovia : BW (CO,SD,PP,HR)
- Valeo : projet Compass (BW),
- Valeo Management Services : BW 3.5 et 7.0
- Unilever HPCE : système européen d’analyse des ventes avec BW, ystème d’analyse de la profitabilité des clients avec BW
- AMIS - Central Entity : BW
- Euralis Holding : BW (chef de projet : Vincent Lesiourd)
- Volvo : Volvo Bus projet Market Segmentation (BW/SEM-BPS), Projet FAST (BW/SEM-BPS) au sein de Volvo Construction Equipement, Projet F2B (BW/SEM-BPS) au sein du groupe VOLVO AB
- Renault Trucks : Projet Planet (BW/SEM-BPS)
- Bouygues Constructions : module BW, BPS et BCS pour la partie Tableau de bord et Pilotage Economique
- Novartis Pharma : SEM-BPS, implémentation de SEM-BPS comme outil de planning de la masse salariale, des ventes et des coûts.
- ANTALIS: En charge des développements BW pour les modules DP et SNP
- Christian Dior : BW
- Novartis Seeds : BW
- Ericson : BW SD
- Total : BW MM FI
- Moet&Chandon : BW APO-DP
- MAAF Assurances : BPS
- MBDA : BW + BPS
- Alcatel Business Systems : BW
- AGF : BPS
-
Eurovia,Vinci : BW, Publication des tableaux de bord groupe
- Richemont : BW-BPS-BCS : création de reports comparatifs liant les multiples sources de données (le budget, la consolidation, le management reporting, et l'année précédente de consolidation).
- Roche : BPS
- LVMH : Mise en place du flux COPA – BW pour comparaison du réel avec le budget des campagnes CRM saisi via BPS
- Valeo : BW + BPS
- Clariant :
système de consolidation SAP-BCS, avec un système de saisie de données basées sur SAP-BPS

Exemples mission sur BW

http://viadeo.com/recherche/profil/?memberId=002pbque9mb8p3r


Mission Cap Gemini (lot 2):

- Mise en place du reporting Paie, GTA, PA, Formation
- modélisation (cubes, ods, extracteur, IO, ...)
- Création des Query correspondantes
- Developpements ABAP
- Mise en place des autorisations
- Redaction des Specifications Fonctionnelles et techniques
- Gestion de projet : Mise en place d'une methodologie de gestion de projet, Suivi de planning, encadrement consultant Jr
- Formation des utilisateurs

Mission Air France (sous traitance SOPRA) :

- Encadrement d'un consultant Junior sur une mission de Dev Abap
sur BW (extractions de hierarchie, de données, dans des fichiers UNIX)
- Intervention sur la TMA BW : création de User exit pour les variables Bex, Developpements de programmes spécifiques en ABAP, corrections d'anomalies...
- Corrections d'anomalies sur le module SRM avant mise en Prod (ABAP)

Mission ETAM :

- Création d'une maquette SAP BW en V 7 sur le module de la gestion Administrative SAP (PA)
- Activation du business content concernant les effectifs et mesures administratives
- Ajouts de fonctionnalités (caractéristiques et ratios)
- Modélisation (Modifs cube standard, ajouts de routine ABAP)
- Création de requêtes du bilan social sur les effectifs avec le query designer

Alcatel : Formateur : dispense d'une formation sur les outils du Business Explorer (Web Application Designer V3.5 ) en Anglais.

Mission Cap Gemini (lot 1):

- Modélisation et mise en place dans SAP BW V 7 d'indicateurs pour le bilan social (Cubes, Infoobjets, ODS, multiprovider, routines en ABAP ...)
- Paramétrage coté R/3 des datasources
- création de requêtes pour le BS via le query designer


Mission Cofiroute :

- Modélisation et rapprochement entre salarié et données comptables provenant du module FI/CO pour déterminer la masse salariale dans SAP BW V 3.5

Secteur : High Tech

2005 - 2007 : Arinso France



Consultant Junior SAP BW - HR, Arinso France

Mission Sanofi - Aventis (06/2006 - 03/2007) :

BW :
- Mise en place de la version 7 de BW sur les modules PY, OM, GTA, HERCULE (Formation).
- Développement d'extracteurs spécifiques pour la formation (ABAP).
- Paramétrage coté R/3 des datasources
- Modélisation des données BW ( InfoObjets, Règles de transfert(Routines ABAP également), Cubes, ODS, InfoPackage, DTP)
- Création de Process Chain
- Création de requêtes via Query Designer
- Création de Reports Web avec le Web Application Designer
- Rédaction des documents (Spec Détaillées, Conception Détaillée)

BW, BCS, BPS, BI IP, BPC, ...

Integrated Planning (ex-BPS), intégré à SAP BI, vous permet de conduire une application budgétaire personnalisée.

BPC (ex-outlooksoft) vous permet de construire un budget en bénéficiant des fonctions intégrées à Excel et de la gestion du processus.

Choix entre BPS et BI IP : BI IP ! http://censio.blogspot.com/2007/11/sap-bw-bps-versus-bi-integrated.html

SAP NetWeaver 2004s, SAP NetWeaver 7.0 (2004s), ou SAP NetWeaver 7.0 ?

et bien, le nom est SAP NetWeaver 7.0 et c'est officiel depuis mars 2007.

Petit résumé :
- cette version est née sous le nom SAP NetWeaver 2004s et contenait la version connue sous le n° 7.0 de BW (qui succède à la 3.5) - ramp up en oct 2005 et lancement officiel en juin 2006.
- Puis nous avons vu progressivement le nom évoluer vers SAP NetWeaver 7.0 (2004s). Il faut bien dire que comme le marché avait identifié le BW comme la version 7.0, le numéro 2004s avait un peu de mal à être mémorisé.
- En mars 2007, SAP a annoncé le nouveau patronyme de sa version et l'abandon des années dans les noms de versions

Pour rappel, Netweaver 7.0 contient :
- SAP Business Warehouse (BW),
- SAP Enterprise Portal (EP),
- Web Application Server (WAS),
- SAP Process Integration (XI, or eXchange Infrastructure)
- Master Data Management (MDM).
http://censio.blogspot.com/2007/09/petit-point-sur-le-nom-officiel-de-la.html

Retours convention USF sur SAP BPC

Strategy Management : SEM-BSC -> CPM SSM
Consolidation : SEM-BCS -> CPM BPC (les 2 produits SEM et CPM sont gardés mais ils répon-dent à différents besoins, dont l’un est “user friendly”)
Planning : SEM-BPS -> NW BI-IP et CPM BPC (framework technologique : BW + BI IP ; partie applicative : CPM-BPC).
BPC : “full Web” (nécessite la suite “Office”).

Différences entre BI IP et BPC
BI-IP et BPC sont tous les deux des outils de planification et de simulation adressés à deux types de population pour le paramétrage: les professionnels en IT pour BI-IP et les employés de l’entreprise pour BPC.
La première solution répond bien aux besoin des entreprises qui souhaitent un process commun, contrôlé et sécurisé. La seconde solution de son coté est plus pour les entreprise qui souhaite laisser leurs entité gérer leur budgets au plus près de leurs besoins spécifiques.

Dans une prochaine sortie, disponible en 2008, BPC sera capable de travailler sur NW BI.
Objectif de cette sortie: conserver toutes les fonctionnalités existantes qui ont rendu Outlooksoft compétitif grâce à une interface extrêmement facile à utiliser, par exemple.
Objectif à long terme: avoir une solution unique de planification dans Netweaver, accompagnée de flexibilité et facilité dans l’administration de la solution SAP BPC.
http://censio.blogspot.com/2007/11/sap-bw-bi-integrated-planning-je-te.html

lundi 19 novembre 2007

Offre emploi Consultant BO ARTENS Apec

Source

"

Offre d'emploi H/F Consultant Fonctionnel BO

Référence : 7299056-5417-5337
Date de publication : 09/11/2007
Société : ARTENS
Voir toutes les offres de cette société
Lieu : IDF
Salaire : A négocier
Expérience : Expérimenté
ARTENS ( www.artens.fr ), partenaire SAP, est spécialisé dans la conduite de projets décisionnels sur solutions SAP NetWeaver BI.
Nos références Airbus, l'Oréal, FNAC, AGF, PSA, EuroDisney, Arcelor...

Suite au rachat de Business Objects par SAP, vous voulez rejoindre les spécialistes SAP NetWeaver BI ?
Nous recrutons des consultants Business Objects pour renforcer nos équipes.

Rattaché au chef de projet, et dans un environnement SAP, vous participerez à l'analyse du besoin, la modélisation et l'élaboration de l'architecture.
Vous prendrez en charge une partie de la réalisation des objets, des états de reporting et de ses fonctions de planification. Vous conduirez les tests qualité, et assurerez la formation des utilisateurs.
Au cours de formations, vous serez amené à renforcer vos connaissances sur SAP NetWeaver BI.

De niveau Bac + 5 en informatique et/ou finance, vous justifiez d'une expérience d'au moins deux ans en tant que consultant Business Objects.
Poste basé en IDF, impliquant des déplacements."

Offre emploi Consultant confirmée ARTENS Apec

Source

"

Offre d'emploi Consultant Fonctionnel Confirmé SAP H/F

Référence : 7299067-5417-5337
Date de publication : 09/11/2007
Société : ARTENS
ARTENS
Voir toutes les offres de cette société
Lieu : IDF et RHA
Salaire : A négocier
Expérience : Expérimenté
ARTENS, partenaire SAP, est spécialisé dans la conduite de projets décisionnels sur solutions SAP BW, et SEM.
Nos références Airbus, l'Oréal, FNAC, AGF, PSA, EuroDisney, Arcelor, Pimkie

Dans le cadre de notre développement, nous recrutons de nouveaux collaborateurs.

Rattaché au chef de projet, et dans un environnement SAP BW et BPS, vous participerez à l'analyse du besoin, la modélisation, l'élaboration de l'architecture.
Vous prendrez en charge une partie de la réalisation des objets BW, des états de reporting et de ses fonctions SEM. Vous conduirez les tests qualité, et assurerez la formation des utilisateurs. Au cours de formations, vous serez amené à renforcer vos connaissances sur BW, et à monter en compétences.

De niveau Bac + 5 en contrôle de gestion et/ou informatique, vous justifiez d'une expérience d'au moins deux ans en tant que Consultant sur BW.
Dynamique, rigoureux et autonome, vous connaissez les environnements SAP depuis au moins trois ans.
Poste basé en IDF ou à Lyon, impliquant des déplacements.

Vous souhaitez rejoindre le spécialiste reconnu SAP BI afin de monter en compétence sur le métier du décisionnel ?"

Offre emploi ARTENS Apec

Source

"

Offre d'emploi H/F Consultant Fonctionnel SAP

Référence : 7299066-5417-5337
Date de publication : 09/11/2007
Société : ARTENS
ARTENS
Voir toutes les offres de cette société
Lieu : IDF + Rhone
Salaire : A négocier
Expérience : Débutant

  • Entreprise :
Avec plus de 60 références et 30 consultants, nous sommes le leader français dans la mise en place de solutions SAP NetWeaver BI. Intégrer l'équipe de consultants Artens, c'est être encadré par des d'experts, bénéficier de l'expérience de ses collaborateurs, et être formé pour réaliser des projets BI pour des clients grands comptes.

  • Poste et missions :
Dans le cadre de notre développement, nous recrutons des Consultants décisionnels SAP.
Rattaché au chef de projet, vous participerez à l'analyse du besoin, la modélisation, l'élaboration de l'architecture et la création d'état de reporting, afin de monter en compétences sur les outils décisionnels et la méthodologie de conduite de projet.
Vous serez suivi par un consultant expert et formé sur les applications SAP.

  • Profil :
De niveau Bac + 5 en contrôle de gestion et/ou en informatique, vous êtes débutant. Une connaissance des logiciels de décisionnel (BO, Cognos, SAS) est recommandée.
La connaissance de logiciel SAP serait un plus.
Dynamique, rigoureux et autonome, vous possédez des qualités relationnelles et vous êtes mobile.

CDI ' Statut Cadre - Poste basé en IDF ou à Lyon, impliquant des déplacements.

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vendredi 16 novembre 2007

Exemple rémunération

http://forum.hardware.fr/hfr/EmploiEtudes/Feedback-entreprises/peat-marwick-sujet_8662_1.htm

En 2004 chez CSC :

"Question salaires je vous explique exactement comment ça marche,
sur paris vous avez un fixe compris entre 30 et 34 cela depend de votre parcours ( ecole + stages + doubles formations ) g négocié 33 pour ma part. Apres vous avez des primes de vacances versées le 1er juillet = 2% du salaire brut annuel, vous avez ensuite le variable :

- si csc france atteint ou depasse ses objectifs annuels vous avez un 13 eme mois , si il est compris entre 90 % et 100 % vous touchez un 1/2 mois supplémentaires s'il est inférieur à 90 % vous touchez rien.
- enfin vous avez une participation qui correspond à un quatorzieme mois ( ou troisieme si pas atteint objectif precedent cela va de soi )"

vendredi 19 octobre 2007

Upgrade SAP : Présentation à l'USF

http://rene-de-beauregard.blogspirit.com/archive/2007/10/12/upgrade-sap-presentation-a-l-usf.html

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La convention USF 2007 ( Utilisateurs SAP francophones ) s'est tenue du 9 au 11 octobre à Reims. A cette occasion, j'ai présenté avec un de nos clients un bilan d'upgrade SAP. Nous étions en plein coeur d'une des préoccupations majeures de cette convention:

  • Préoccupation de SAP : Comment convaincre ses clients de passer à la dernière version ?
  • Préoccupation des clients : Comment convaincre ma direction de l'intérêt de ce type d'opération ?

Présentés lors de cette convention, les résultats d'une enquête sur le terrain ont montré que le principal facteur déclenchant de l'upgrade était l'arrêt de support standard. Les versions antérieures ( 4.6C principalement ) continuent d'être supportées, mais un tarif supérieur et sans apport de nouveau correctif. Tout ça est vécu comme une contrainte plus que comme un désir d'exploiter de nouvelles fonctionnalités : Intégration du moteur BW, J2EE, Architecture SOA. D'ailleurs si celles-ci sont jugées intéressantes, elles ne seront mises en oeuvre que plus tard.

En tous cas le projet d'upgrade qui a été mené chez notre client montre que les charges ne sont pas si énormes.

Quelques chiffres clé :

  • 5 mois de projet ( de janvier à juin 2007)
  • Une charge globale de 250 ETP (120 client, 70 pour la revue des développements , 60 pour nous Sun )
  • 56 heures d'arrêt ( business downtime ) lors de l'upgrade final de l'instance de production
  • L'opération technique d'upgrade a duré 17 heures. Le reste du temps a été occupé par les validations fonctionnelles et la reconnexion de l'instance à ses diverses interfaces

Inclus dans ces 5 mois de projet, le changement de serveur + un upgrade Oracle 9.2 vers Oracle 10. C'est d'ailleurs cet upgrade qui nous a causé le plus de soucis.

Les techniques de copie incrémentales sont d'une aide précieuse dans ce type de projet. Il faut en effet copier de multiples fois les différentes instances SAP. Les modifications effectuées sont enregistrées dans une petite base de données spécifique ( bitmap ) qui pointent les blocs modifiés. A la prochaine synchronisation, seuls les blocs modifiés seront recopiés.

Un upgrade SAP se décompose en plusieurs phases. Avec cette technique de copie incrémentale, on peut sauvegarder un état stable de l'instance qui pourra servir de point de retour en cas d'échec de la phase suivante. Le déclenchement de ces copies se fait par script shell et est donc très facilement utilisable.

Pour plus de détails, voici donc la présentation Présa Sun-USF2007.pdf qui a été faite. J'ai juste retiré les slides relatifs à l'activité du client. "


Je télécharge la présentation et la mettrai sur notre lieu de partage des informations (l'upgrade est en environnement Sun).

Pascal Rialland, SAP France: "Nous avons changé, culturellement"

http://www.silicon.fr/fr/silicon/news/2007/10/18/pascal-rialland-sap-france

"Des résultats exceptionnels, une nouvelle dynamique de croissance...", le patron de SAP France dresse un bilan positif, au moment où le rapprochement avec BO se confirme

"Un très bon trimestre, solide, dont les chiffres s'inscrivent dans la fourchette haute des prévisions", a commenté Pascal Rialland qui a souhaité marquer ces bons scores en invitant la presse au George V à Paris, tout en disant sa satisfaction de célébrer ses deux premières années à la tête de la filiale française.

Il est vrai que le dg de SAP France peut légitimement se féliciter d'indices et de circonstances favorables: outre les bons résultats trimestriels (cf. notre info, par ailleurs), une bonne note dans la dernière enquête de satisfaction du Cigref, le bon accueil de l'OPA amicale de B.O. ("en très bonne voie...") et la négociation du virage 'Sofware as a service' (SaaS), ainsi que le lancement imminent de "Business by Design"...
Ce qui' s'appelle avoir le vent en poupe.

En France, le 3è trimestre affiche des "résultats exceptionnels". Les ventes "software" ont progressé de 84%. Et "sur l'année 2007, le taux de croissance sera très certainement supérieur à +30%"
Cette croissance se vérifie aussi bien auprès des grands comptes (+78% en valeur) - qui génèrent les deux-tiers des revenus ("sans qu'il y ait eu de très gros contrats" [ sauf Chorus, Minefi?] , qu'auprès des PME, le tiers restant, où la progression est record: +100%. "Auprès des PME, nous avons triplé notre chiffre en deux ans", observe Pascal Rialland.
Auprès des grands comptes, SAP estime que sa marge de progression est encore très importante, autrement dit, loin de la saturation - qu'il s'agisse de comptes déjà dotés de solutions SAP ou non.
Le secteur banque-assurance reste une cible clé à conquérir, un espace vierge ou presque -et là le retard par rapport à l'Allemagne est évident. Mais un contrat important récemment signé avec Axa démontre que rien n'est perdu... En outre, la démarche d'architecture SOA (service oriented application) sert de levier: " Cette offre permet d'entrer de façon progressive".

De même, l'ouverture multi-systèmes de la plate-forme de développement NetWeaver (qui permet de marier des environnements hétérogènes, RedHat Linux compris) est bien perçue par les grands comptes (11.000 clients dans le monde). "C'est notre réponse, objective, à qui nous assène encore: "Vous nous obligez à passer à la nouvelle technologie!". Nous y mettons les moyens: des consultants " métiers" et des ingénieurs d'affaires qui travaillent sur la valeur".

Les freins dans certains secteurs seraient-ils dû aux performances de la concurrence, dont IBM? IBM est-il toujours un concurrent plus qu'un allié?
"Nous reconnaissons chez SAP France que nous avons à développer notre business commun avec IBM. Nous entretenons une relation suivie, à nous de la conforter avec leurs nouveaux dirigeants. Ils apprécient que nous puissions préconiser DB2 [SGBD mainframe de Big Blue], c'est clair. Mais, eux aussi, constatent que, comparativement avec d'autres marchés, ils ne font pas assez de business avec nous!"
A noter au passage, le cas récent du groupe Boulanger (électronique domestique): c'est IBM GBS (Global Business Services) qui a piloté la migration des 700 utilisateurs, avec des développements spécifiques en Inde, et, en mai dernier, la migration s'est opérée en 36 heures...

Vers les PME, SAP France met beaucoup d'espoir sur sa future offre Business-by-Design : "Elle sera disponible début 2008. Walter Lenarduzzi (en charge des PME) a mis en place une cellule dédiée de 20 personnes. Nous avons déjà deux clients pilotes en France. Et nous étoffons notre réseau avec de nouveaux partenaires.
Très clairement, cette nouvelle offre doit nous ouvrir du "business" incrémental, donc auprès d'entreprises ou organisations, comme les collectivités locales, qui ne s'intéressaient pas à ce type d'applications jusqu'ici
".

Sur ce marché des PME à fort potentiel, l'affrontement concurrentiel sera-t-il frontal avec Microsoft? "Oui, c'est clair. Oracle, toutes tailles de clients confondues détient 16,1% de part de marché des applications, derrière nous, SAP, à 27% (source IDC); Microsoft ne pèse encore que 3,2% mais nous sommes déjà en concurrence frontale avec eux".

Et retour sur l'actualité: l'OPA amicale sur BO (Business Objects) paraît bien engagée. Les autorités ne devraient pas soulever d'objections. "Il est prévu que l'entreprise conserve son autonomie". Est-ce que SAP France occupera un rôle particulier dans le rapprochement? "Oui, tout juste!", se contente de répondre Pascal Rialland, sourire aux lèvres.
S'agira-t-il de proposer SAP à tous les clients Oracle de BO - alors que 40% de ses clients seraient déjà clients de SAP? "Non! SAP a beaucoup changé culturellement. Aujourd'hui notre dynamique est tirée par la réalité de notre excellence opérationnelle; on s'imprègne effectivement des contraintes des entreprises en les accompagnant dans leur migration"

Enfin, relevons que SAP France s'inscrit dans la boucle vertueuse: "Le groupe fait de bons résultats tout en tenant ses engagements d'investissements - 400 millions d'euros pour accélérer la croissance, au niveau mondial". Entre autres effets bénéfiques: le recrutement, qui est critique et crucial. "SAP France, qui compte 600 personnes environ, connaît un certain turn-over de personnel, c'est vrai. Mais, avec une progression de 15 à 20% de notre effectif, nous aurons recruté 150 personnes cette année.""

samedi 8 septembre 2007

Les secrets des vrais pros

http://www4.fnac.com/Shelf/article.aspx?PRID=1866239&OrderInSession=1&Mn=476&SID=b34a5c66-6e9e-0369-c2e7-5457ac7e04e0&TTL=090920071454&Origin=FnacAff&Ra=-1&To=0&Nu=54&UID=0aa7a7c74-00fb-4a1b-5d0f-1159e1901f3b&Fr=0

"

Mot de l'éditeur

Comment agissent et se comportent les vrais pros ?
Quels sont leurs secrets ?
Comment se sont-ils construits ?

Ce livre répond à ces questions en dégageant les principales caractéristiques de la «pro attitude» vous permettant ainsi de la mettre en oeuvre.

Etre pro, au-delà de l'efficacité et de la compétence technique, c'est :

X savoir être à l'écoute,
X s'engager et transmettre son engagement,
X savoir être combatif,
X savoir tenir ses engagements,
X utiliser ses réseaux avec pertinence,
X être pragmatique et stratège,
X jouer collectif.

Cet ouvrage vous offre une méthode et une grille de lecture incroyablement efficace pour apporter une vraie valeur ajoutée à votre expertise et à votre expérience.
Lionel Bellenger sait transmettre ses convictions et donne à chacun les raisons d'un optimisme communicatif. À lire cet ouvrage, on se sent plus fort et encouragé à s'engager dans la voie de progrès qu'il ne tient qu'à vous d'accomplir.

Lionel Bellenger, dont c'est ici le 503 ouvrage, enseigne dans les grandes écoles et fait partie de l'équipe dirigeante d'un grand organisme de formation. Spécialiste reconnu dans les domaines de la communication, de la négociation et de l'efficacité professionnelle, il dirige chez ESF éditeur la collection Formation permanente."

lundi 27 août 2007

Documents à lire

http://www.phronesis.fr/ressources.htm

SaaS : SAP va bientôt présenter 'A1S' pour PME

http://www.silicon.fr/fr/silicon/news/2007/08/24/pme-sap-va-bient-t-pr-senter

"Le marché des PME continue de faire saliver SAP… L'approche locative est tentante, donc tentée

Publicité Derrière ce curieux nom (codé), se dissimule une offre de type ASP (Application service provider) ou plutôt SaaS (Software as a service). Il s'agirait d'un progiciel de gestion en ligne pour les petites et moyennes entreprises.

L'éditeur allemand, rival d'Oracle, devrait le lancer le 19 septembre prochain. "A1S" doit permettre à l'éditeur de mieux investir le secteur des PME. Les concurrents (IBM, Oracle, Sage, Microsoft) sont déjà très présents dans le Mid Market.

D'après Reuters, SAP annonce également qu'il va investir entre 300 et 400 millions d'euros dans la commercialisation de cette offre.

L'objectif pour SAP est de conquérir 10.000 nouveaux clients par an sur ce segment à partir de 2010. A1S a nécessité un investissement de 500 millions de dollars."

lundi 6 août 2007

Blog sur expériences de recrutement par des SSII

http://jeune-developpeur.blogspot.com/2006/07/smart-up.html

SAP introduit un package façon 'SP2' pour son ERP

http://www.silicon.fr/fr/silicon/news/2007/07/31/sap-introduit-un-package-fa-on

"Baptisé "Enhancement package", cette mise à jour de SAP apporte de nombreux correctifs et nouveautés. Mais désormais le client peut choisir ce qu’il installe. Comme l’a annoncé l’éditeur allemand fin 2006, sa stratégie de mise à jour par 'packages' contribue à un modèle de diffusion économique, flexible et sur mesure. En effet, le client concerné par ces mises à jour peut installer les correctifs SAP et choisit d’intégrer ou non les nouveautés. Ainsi, il décide lui-même de l’impact de ses mises à jour. Une opération moins onéreuse pour SAP et plus souple pour le client; elle pourra également plaire aux intégrateurs. Et tout le monde est content… Bien entendu, l’éditeur explique que ces possibilités sont permises grâce à la conception des logiciels bénéficiant d’une architecture orientée services (et oui, encore SOA !).
Le processus commande-encaissement optimisé
Selon SAP, ce second pack de mise à jour simplifie les processus de la commande à l’encaissement (order-to-cash) en améliorant l’accès aux données sur les clients et les bons de commande, en affinant les factures et les règlements, et en améliorant la visibilité pour les responsables des comptes clients et aux cash manager.
Finances et Capital Humain revus et affinés
SAP ERP Financials bénéficie d’amélioration sur le prévisionnel et la consolidation financière, mais aussi sur la facturation, la gestion du crédit, gestion des litiges et des contentieux. Le nouveau module SAP Bank Relationship Management s’enrichit de possibilités de communications avec de multiples banques grâce à l’intégration de SWIFTNet, le réseau d’échanges interbancaires électroniques. SAP ERP Human Capital Management inclut maintenant l’environnement SAP Enterprise Learning, annoncé fin avril dernier à Atlanta. Environnement qui regroupe SAP Learning Solution et les classes virtuelles fournies par Adobe Connect.
De nouveaux scénarios pour Operations
Corporate Services SAP ERP Operations propose de nouveaux rôles et centres de travail permettant aux commerciaux internes d’accéder aux données Clients. De plus, les possibilités de recherche sur les ventes et les documents de facturation ont été simplifiées et optimisées. Par ailleurs, les industriels pourront implémenter des innovations supportant le contrôle et le monitoring des processus Kanban, ainsi que la méthode Heijunka. La gestion des déplacements (SAP Travel Management) présente une nouvelle interface et des outils pour améliorer le confort d’utilisation, faciliter une prise en main rapide par l’utilisateur, et simplifier l’intégration avec les applications d’un éventuel partenaire de l’entreprise. De nouveaux scénarios immobiliers sont inclus dans SAP Real Estate Management comme une meilleure gestion de l’espace, des salles, des déménagements… qui profite aussi d’un support amélioré pour des opérations globales de lease management faisant intervenir plusieurs devises. Enfin, SAP Enterprise Asset Management fournit aux utilisateurs un accès simplifié aux processus de planification des tâches. L’éditeur en profite pour diffuser des nouveautés en direction de diverses industries : "Trading Industries" (gestion des achats et des magasins, intégration à SAP GRC, etc.), télécommunications (facturation…), etc.
Bref, c'est là une mise à jour très riche, pour laquelle on comprend aisément que le client souhaite choisir ce qu’il installe. En effet, les modifications de mode de travail et de processus vont bien au-delà du simple déploiement informatique automatisé. Une excellente et incontournable occasion pour mieux communiquer avec les utilisateurs et les directions métiers !"

mercredi 25 juillet 2007

Témoignages consultants petite SSII

http://www.applium.fr/fr/Temoignages/32.html

"Il ya un an, j’ai choisi d’intégrer Applium car c’est une société à taille humaine où chaque salarié est considéré comme une personne pouvant apporter à l’entreprise."

"J’ai quitté mon ancienne SSII car j’en avais assez d’être placé sur une mission puis oublié. Ils oubliaient également le client, ce qui rendait mes efforts quotidiens envers ce dernier vains.
Ce départ était aussi du à l’absence de suivi, à un dialogue inexistant, sans parler des formations et des évolutions qui étaient plus que difficiles à obtenir.
Je suis donc rentré chez Applium car c’est une société à taille humaine. Rien ne vous est imposé, tout est basé sur le dialogue, l’échange. La politique d’Applium , c’est que le consultant doit se sentir bien dans sa mission. Tout le monde est gagnant (le client, Applium et le consultant).Les formations ne sont pas des sujets tabous bien au contraire, l’idée est de former des personnes autonomes, des technico-fonctionnels.J’avoue aussi que lors de l’entretien d’embauche c’est la seule société qui m’a fait son bilan de santéet cela m’a donné un sentiment d’une certaine transparence."

"Ce que va m’apporter Applium?Déjà la possibilité d’évoluer comme je le souhaite, mais aussi un certain bien être dans mon travail, un climat de confiance et de dialogue."

"Chez Applium, je me sens bien. C’est la première fois qu’un employeur s’engage et se fixe des objectifs. Ce sont aussi les miens quelque part…. et c’est ca qui me plait. "

"A mes yeux, nous sommes une équipe et nous participons tous à un projet de société autour de SAP. Les valeurs, les idées que je défends, je veux les partager. En rencontrant le directeur de la société, j’ai pu mesurer la motivation et l’engagement dans SAP de toute une équipe. Aujourd’hui, nous partageons les mêmes ambitions et les mêmes rêves. "

"Tout est dans le titre; travailler chez Applium c’est avant tout avoir le choix de ses missions. C’est la possibilité de pouvoir choisir ses missions en fonction de critères professionnels (sujet et intérêt de la mission) mais aussi en fonction de critères personnels (positionnement géographique, temps de transport).
Ainsi depuis que j'ai rejoins Applium, j'ai participé et réalisé cinq missions dans lesquelles j'ai pu m'épanouir et faire évoluer mes connaissances."

"En contrepartie, Applium est une société à l'écoute de ses salariés, ou l'évolution des collaborateurs est un critère omniprésent, tant dans le choix des missions que dans les possibilités de formations."

"Certification SAP, partenariats multiples, signatures chez les clients finaux, Applium est en passe de devenir un acteur reconnu de la scène SAP. Le secret? Un climat agréable, une culture de l’esprit d’équipe et d’entreprise et une écoute de tous les instants…"

http://www.cbl-consulting.com/fr_/page.php?rubrique=6&sousrubrique=11

"En ce qui concerne l’ambiance : on se connaît tous personnellement et pas juste superficiellement, notamment grâce aux séminaires annuels, aux réunions, à la lettre d’informations interne (celle-ci nous permet d’être bien tenus au courant de la vie de CBL consulting, nous en parlons entre nous et cela amorce les sujets de discussion de la prochaine réunion). Le fait de bien se connaître et de nouer des liens est important car on travaille ensemble, on vit ensemble une bonne partie du temps."

"* un esprit jeune, un excellent accueil
* une formation sur SAP complète et conséquente
* une mise en pratique très rapide, et appréciable puisque c'est sur le terrain que l'on apprend le mieux !
* les consultants sont véritablement accessibles, à l'écoute et sont moteur d'une vraie intégration chez CBL."

samedi 30 juin 2007

Le secteur du conseil cherche à fidéliser ses cadres expérimentés

Article des Echos du 27/03/2007

"COMPETENCES
MANAGEMENT -

Alors que le marché du conseil affiche à nouveau une belle santé, les cabinets ont du mal à fidéliser des consultants expérimentés. De plus en plus attirés par la banque et l'assurance, qui recrutent à tour de bras, ceux-ci quittent sans remord leur ancien employeur. Meilleure équilibre entre vie privée et vie professionnelle, rémunérations souvent plus attrayantes : les raisons des défections sont nombreuses et mettent les cabinets de conseil à rude épreuve pour tenter de garder ces profils clefs.

Le secteur du conseil cherche à fidéliser ses cadres expérimentés

Cent pour cent de mes consultants ont été approchés récemment par des chasseurs de tête », affirme, un peu exaspéré, Francis Rousseau, PDG d'Eurogroup. Avec la nette embellie du secteur, le conseil s'est remis à embaucher, et les cabinets se disputent âprement leurs collaborateurs. La profession, qui compte près de 27.000 consultants en France, devrait embaucher cette année l'équivalent de 10 % de ses effectifs.

Alors que ce secteur connaît un turnover traditionnellement élevé (selon un modèle a priori immuable où, après quelques années dans le conseil, les consultants partent chez le client), certains cabinets admettent qu'ils flirtent aujourd'hui avec la zone rouge. Au-delà des 20-25 % de turnover, le modèle vacille et frise la surchauffe.

Certes, le secteur du conseil est loin d'être homogène, que ce soit au niveau de l'activité (conseil en stratégie, en ressources humaines, en finances ou en informatique), ou de la taille des cabinets. Mais tous sont confrontés à une pénurie qui concerne principalement les profils « expérimentés », c'est-à-dire avec une ancienneté de quatre à huit ans dans le conseil.

C'est à cette période charnière, autour de 30-35 ans, qu'un nombre élevé de consultants décrochent. Non que le métier ait perdu de son attractivité, car les scandales qui l'ont éclaboussé début 2000 semblent déjà appartenir au passé. Mais la concurrence avec d'autres secteurs est de plus en plus rude. La banque et l'assurance en particulier créent un véritable appel d'air. Là encore, ce sont les jeunes expérimentés qui sont les premiers « chassés ». « Les clients hésitaient parfois à recruter ces profils qui avaient cinq ou six ans d'expérience mais qui n'avaient jamais fait d'opérationnel. Aujourd'hui, les entreprises ont évolué et mesurent tout l'intérêt de ces collaborateurs », explique Isabelle Lamothe, DRH chez Accenture France. Difficile de retenir ces consultants car, côté salaires, la banque ou l'assurance sont capables de très nettement surenchérir.

Davantage de stabilité

Fait nouveau, les cabinets commencent également à pâtir de la concurrence européenne. « Sur les profils qui nous intéressent, le marché est mondial. Les consultants français sont très attirés par Londres ou Francfort où les salaires sont plus attractifs. », affirme Jean-Christophe Mieszala, directeur Associé Senior chez McKinsey. Du coup, certains cabinets commencent à s'interroger sur leur politique salariale. Pour un consultant junior, la fourchette de salaire se situe, selon la taille et la renommée du cabinet mais aussi la formation du jeune diplômé, entre 25.000 et 35.000 euros bruts annuels. « Il faudra sans doute revoir les rémunérations, concède Olivier Chatin, vice-président de BearingPoint France. Les salaires en euros constants n'ont pas augmenté depuis 2002. Même si l'ajustement des rémunérations aura nécessairement des répercussions sur les prix. » Tous s'accordent néanmoins à reconnaître que la rémunération n'est qu'un élément de la fidélisation. Les conditions de travail comptent aussi énormément. Sans arrêt en déplacement chez les clients de par la nature de leur métier, les consultants qui atteignent la trentaine aspirent aussi à davantage de stabilité, notamment lorsqu'il s'agit de jeunes mères. Mieux planifier les missions pour éviter d'éloigner trop longtemps un consultant de sa famille, voilà une des pistes plus ou moins respectées par les grands cabinets. Mais, quoiqu'il advienne, consultant rimera toujours avec déplacements incessants.

Mieux gérer les carrières

Pour Jérôme Lescure, vice-président du bureau de Paris d'ATKearney, le conseil doit surtout mieux mettre en valeur ses fondamentaux : « Une expérience, un horizon dans des champs de compétences variées et des fonctions que l'on ne peut rencontrer nulle part ailleurs. » Le président du Syntec conseil en management, Jean-Luc Placet, ne fait pas une autre analyse. S'il s'inquiète aussi de l'évaporation des consultants après cinq ans passés dans un cabinet, il rappelle que le métier présente des atouts, selon lui, irremplaçables : « D'abord, l'intérêt intellectuel des missions, alors qu'en entreprise ils peuvent plus facilement s'ennuyer ; ensuite, un management beaucoup moins hiérarchique, et une multiplicité de contacts à haut niveau chez le client. Quand on a vingt-huit ans, c'est très gratifiant de parler avec le directeur général alors que, dans l'entreprise, on aurait jamais pu même le croiser. »

Malgré ces avantages, les cabinets sont conscients qu'ils doivent aujourd'hui faire plus pour garder leurs collaborateurs. Mieux gérer les carrières des consultants est ainsi devenu leur priorité. « Nous essayons d'être plus à l'écoute de ce qu'ils veulent individuellement, affirme Isabelle Lamothe chez Accenture. Les jeunes consultants sont sans doute plus impatients. Si une mission ne leur plaît pas, ils n'attendront pas six mois pour partir. » Proposer des missions variées est crucial pour que le consultant n'ait pas l'impression d'avoir fait le tour de son métier trop vite.

Investir en formation

Alors que le conseil continue d'être considéré comme une formation supérieure, les cabinets redoublent d'attention pour proposer à leurs consultants l'expérience la plus enrichissante possible. « Nous avons dû bâtir des politiques de gestion des compétences plus fines et investir énormément en formation », explique Jean-Luc Placet, à la tête également du cabinet de conseil en ressources humaines IDRH.

Au cabinet Greenwich Consulting, spécialisé dans le conseil aux entreprises de télécoms et aux médias, on a ainsi développé le concept du « consultant entrepreneur ». « Nous donnons dès le départ un rôle commercial à nos jeunes consultants, alors que, dans la plupart des cabinets, ils n'abordent cette facette du métier qu'aux alentours de trente-cinq ans. Ils savent que c'est une compétence clef à long terme pour eux », avance Hubert Reynier, directeur associé. C'est l'un des paradoxes du conseil : c'est en développant au maximum leur employabilité que les cabinets peuvent espérer garder leurs troupes suffisamment longtemps.

La règle du « up or out »

Ainsi, plutôt que d'esquiver la question du départ des collaborateurs, une autre stratégie, certainement plus payante, consiste à l'aborder en toute franchise. « Nous considérons qu'il faut aussi aider nos consultants à trouver de bons jobs s'ils décident de partir, chez nos clients, par exemple », affirme Olivier Chatin, chez BearingPoint. Or un bon départ s'effectue au bon moment. Nous leur montrons qu'il est plus intelligent de rester dix ans que cinq, car avec dix ans d'expérience en conseil la progression en entreprise est alors beaucoup plus rapide. » L'évolution rapide des carrières est, les cabinets le savent, l'un de leurs meilleurs atouts, même si un certain nombre commencent à remettre en cause la règle du « up or out » qui consiste à ne garder que les consultants qui progressent. Face à ceux qui ont atteint la trentaine, il devient impératif de proposer des aménagements à ce système un peu trop huilé. Outre des temps partiels (4/5 essentiellement) qui, précise Isabelle Lamothe, chez Accenture, ne pénalisent en rien la carrière du consultant, le cabinet accepte de plus en plus de voir partir pour une période de break de six mois à un an des collaborateurs désireux de vivre autre chose.

Dans le même sens, le cabinet Eurogroup vient de lancer une campagne publicitaire plutôt iconoclaste pour tourner en dérision l'image stéréotypée du conseil. Un visuel montre la panoplie du parfait consultant, costume-cravate, attaché-case de rigueur et ordinateur portable, avec ce sous-titre : « La méthodologie, c'est tellement pratique que cela va à tout le monde. Heureusement, vous n'êtes pas tout le monde. » Le message est clair, le conseil veut changer de visage. Et sortir de la caricature qui lui colle encore un peu trop à la peau."

lundi 18 juin 2007

En finir un jour avec le cycle infernal des coûts de l'ERP?

http://www.cxp.fr/flash-cxp.htm?_Page=fiche&_Id=000357

"
Les motivations des entreprises tentées par l'odyssée de l'ERP sont bien connues et la plupart du temps tout à fait justifiées. Un progiciel qui intègre les grandes fonctions de leur activité assure la cohérence de leurs données, offre la garantie de résultats fiables, des processus rationalisés, voire des performances business meilleures, - quoique rarement mesurées et chiffrées. Mais, comme le qualifiait fort justement l'intitulé d'une conférence du dernier Progiforum, l'ERP est à la fois "le pire ami" et le "meilleur ennemi" de l'entreprise qui l'utilise. On parle peu en effet de la face cachée de l'iceberg : les coûts. Pas seulement les coûts "avant", ceux de la période pré-implémentation et qui sont en général anticipés, mais les coûts "après".
On a à présent une idée assez nette de la courbe du TCO d'un ERP durant son cycle de vie : après le pic budgétaire que représentent l'achat et la première implémentation, la courbe des coûts redescend quelque temps, mais, une fois la phase opérationnelle commencée, remonte de façon régulière et continue jusqu'au remplacement de l'ERP. Une étude récente commanditée par Agresso et réalisée par le cabinet d'études TEC (Technology Evaluation Center) jette le pavé dans la mare en confirmant le caractère inexorable du piège financier que représente la mise en place d'un ERP. Selon cette enquête menée auprès de 870 managers, responsables financiers ou informatiques dans 83 pays, 70% des personnes interrogées reconnaissent se sentir enfermées "dans un cycle infernal de dépenses" avec l'ERP mis en oeuvre. Ces managers sont 72,5% à affirmer que leur entreprise ne cesse d'investir dans les améliorations [...].
L'étude TEC met particulièrement en évidence les coûts induits par le manque d'agilité "post-implémentation" des ERP : 31% des sondés se disent déçus de l'incapacité de leur système à s'adapter aux besoins changeants de leur métier et près de 30% ont même identifié cette incapacité comme la raison qui a empêché ou retardé la mise en oeuvre de stratégies qui auraient eu un impact positif sur le business de l'entreprise. [...]
Peut-être en effet existe-t-il des ERP plus "agiles", ou moins rigides, que d'autres. La capacité des ERP à se conformer aux principes de l'architecture SOA va, certes, dans le bon sens pour absorber plus facilement les nécessaires évolutions que réclame le marché. Mais c'est peut-être le modèle lui-même de l'ERP qu'il faudra un jour remettre radicalement à plat, en englobant l'architecture du produit, mais aussi son modèle de développement, de commercialisation, de maintenance, d'évolutivité. L'ERP du futur doit être flexible, souple, élastique, pour, comme le strech d'un vêtement de sport, s'adapter à la taille et aux mouvements (d'extension, d'élan ou de rétraction) de l'entreprise. [...]"

mercredi 30 mai 2007

Recrutement profil "Décisionnel"

Bonne source de recherches : http://www.sas.com/offices/europe/france/academic/sasacad_parten.html

Licence professionnelle dans le Décisionnel :
- IUT de Vannes : "Licence Prof. Statistique Décisionnelle en Marketing" & "Licence Prof. Conception des Systèmes Décisionnels"

- Université du Littoral : "Master Management et Economie Appliquée mention Aide à la Décision pour l’Entreprise "

- Université de Marne La Vallée : "Licence Professionnelle "Systèmes informatiques et logiciels" Option : Décision et Traitement de l'Information, data mining"

http://www.artens.fr/recrutement.htm

"Les profils actuellement recherchés sont :
- Expérience de conseil de plus de 2 ans sur BW ou BPS
- Expérience de conseil de 1 an sur BW ou BPS et/ou de plus de 2 ans sur une solution SAP
- Jeune diplomé ou stagiaire, formation en décisionnel
Vous pouvez nous faire parvenir votre candidature à : recrutement@artens.fr"

Délit de marchandage

Articles :

http://www.01net.com/article/166641.html
http://ssii.hitechpros.com/info/charte.asp
http://www.generation-precaire.org/_discussion.php3?id_forum=6061

lundi 28 mai 2007

Le principe du Balanced Scorecard

http://balanced-scorecard.piloter.org/balanced-scorecard-principe.htm

"Le principe du Balanced Scorecard
Balanced Scorecard ou tableau de bord ?


Principe du Balanced Scorecard de R. Kaplan et D. Norton
tableau de bord
Tableaux de bord prospectifs

La démarche Balanced Scorecard propose d'élaborer la stratégie en respectant l'équilibre des 4 perspectives suivantes :

* - Perspective Financière : Quelle est la valeur créée pour les actionnaires ?
* - Perspective Client : Quelle est la valeur créée pour les clients ?
* - Perspective Processus Internes : Quelle est la performance des processus-clés de la réussite ?
* - Perspective Apprentissage Organisationnel : Quelle est notre capacité à progresser ?

balanced scorecard
L a carte stratégique est en effet le point central du système.
Elle est l'expression des hypothèses stratégiques et définit les relations de cause à effet entre les mesures de résultats retenus et les déterminants de la performance.
" Chaque mesure sélectionnée pour le Balanced Scorecard doit être un élément d'une chaîne de relation de cause à effet exprimant l'orientation stratégique de l'entreprise " (Robert Kaplan, David Norton, "le tableau de bord prospectif")
L'établissement de cette carte nécessite un travail de fond plus que conséquent. La qualité du système de pilotage est directement dépendante de la pertinence et de la vraisemblance de la carte stratégique...

1. Perspective Financière :
Comment nous perçoivent les actionnaires?
Autrement dit : Quels sont leurs attentes des actionnaires en matière de performance financière ?
L'objectif de toute stratégie est d'assurer dans la durée une rémunération satisfaisante des capitaux engagés. Les indicateurs financiers, orientés mesure de la rentabilité comme le Retour sur Investissement, le bénéfice d'exploitation ou encore l'EVA, permettent d'évaluer la performance des actions engagées par le passé.
2. Perspective Client :
Comment nous perçoivent nos clients?
Dit autrement : Comment doit-on créer de la valeur au sens du client pour atteindre les objectifs financiers ?
L'amélioration de la rentabilité client est un passage obligé à toutes formes de croissance. Que ce soit par une augmentation du chiffre d'affaires généré par chaque client et par segment, ou par un accroissement de la clientèle, il faut rechercher toutes les pistes. Les indicateurs de cet axe sont généralement orientés évaluation de la satisfaction et de la fidélité des clients, mesure de l'accroissement de la clientèle et de l'accroissement de la rentabilité par client…
3. Perspective Processus Internes :
Quels sont les processus internes, clés de la réussite ?
Autrement dit : Quels sont les processus qui méritent nos "soins" de tous les instants pour satisfaire clients et actionnaires.
La qualité des services délivrés aux clients est directement dépendante de la performance des processus. Il est important d'identifier les processus clés susceptibles d'améliorer l'offre et par voie de conséquence la rentabilité servie aux actionnaires. Cette catégorie englobe tous les processus contribuant étroitement à la création de valeurs sans omettre les processus à cycle plus long comme ceux liés à l'innovation.
4. Perspective Apprentissage Organisationnel :
Comment organiser notre capacité à progresser ?
Avec les deux derniers ouvrages Strategy Maps et "Alignment", les deux auteurs ont un peu infléchi cette formulation : Comment "aligner les intangibles" que sont les personnes, systèmes et culture pour améliorer les processus critiques ?
Pour atteindre les objectifs à long terme, il est indispensable de rénover les infrastructures. Cet axe concerne trois chapitres : les hommes, les systèmes et les procédures. Le progrès à mesurer porte essentiellement sur la formation des hommes pour accéder à de nouvelles compétences, l'amélioration du système d'information et la mise en adéquation des procédures et des pratiques.

Attention : Le mot important est " équilibre ". La traduction française en "tableaux de bord prospectifs" ne met pas assez en évidence cette caractéristique essentielle. Il est préférable d'utiliser l'expression " Tableaux de bord équilibrés " qui, quoique toujours incomplète, est malgré tout plus proche de l'esprit d'origine des concepteurs. L'équilibre des 4 perspectives est en effet primordial. Il ne faut jamais pénaliser un axe pour en favoriser un autre, mais au contraire mettre en évidence les liens de causalité des 4 perspectives. C'est ainsi que selon les auteurs Norton et Kaplan, la rentabilité des capitaux investis sera effective. "

vendredi 25 mai 2007

SAPPHIRE '07 Vienna Online

Tous les documents (vidéos, présentations, ...).

http://www.sap.com/community/pub/events/2007_05_SAPPHIRE_EU/solutions.epx

mardi 22 mai 2007

Dix conseils pour bien choisir sa SSII

http://www.01net.com/article/345253.html

"2. Consulter le classement des SSII

...

Le site Top 50 SSII, propose, lui, un palmarès social des SSII, établi par les internautes eux-mêmes. Le personnel note, selon trois critères, l'ambiance générale, la rémunération, et les perspectives de carrière.

3. Eplucher les indicateurs sociaux

...

Turnover, évolution des effectifs, nombre de licenciements, âge moyen, ancienneté, taux d'intercontrat, effort de formation, rémunération, parité... Obligatoire pour les entreprises de plus de 300 salariés, le bilan social délivre un grand nombre d'indicateurs, d'autant plus précieux qu'ils peuvent être comparés à ceux des années précédentes.

5. Décortiquer le déroulé de l'entretien d'embauche

...

« L'entretien doit porter sur le profil et le poste à pourvoir, rappelle Régis Granarolo, du Munci. Ne répondez pas aux questions limites. De même, refusez le double entretien, qui consiste à vous présenter au client avant même d'avoir été embauché. » Cette pratique relève du délit de marchandage.

6. Etudier les conditions contractuelles

Le contrat de travail qui vous sera proposé sera certainement un contrat type. Il peut cependant contenir un certain nombre de clauses, susceptibles d'être autant de chausse-trappes. Parmi les plus usuelles, on trouve les clauses de mobilité - déplacements possibles sur tout le territoire -, de dédit-formation - remboursement des frais de formation en cas de départ précipité -, de non-concurrence, et de confidentialité.

Pour rester équitable, le dédit-formation doit être proportionnel à la durée et au coût de la formation. Dans la conjoncture actuelle, retenir pendant deux ans un jeune diplômé à la suite d'un stage d'intégration de deux mois est jugé excessif. La clause de mobilité, elle, n'est pas limitée dans le temps. « Un jeune peut y voir l'opportunité de voir du pays. Mais elle risque de vite devenir contraignante, lorsque celui-ci s'installe et fonde une famille », rappelle Ivan Béraud, de la F3C CFDT. Si le rapport de forces est en votre faveur, tentez de restreindre le périmètre géographique de cette clause, s'il n'est pas possible de la supprimer.

En ce qui concerne la clause de non-concurrence, un arrêt de la Cour de cassation précise que, pour être valide, elle doit être rémunérée substantiellement au regard du préjudice. Evitez, enfin, la prolongation de votre période d'essai. Elle représente pour vous une porte de sortie tardive, mais elle favorise aussi certains abus. Par exemple : vous licencier sans devoir avancer de motif si vous vous retrouvez en intercontrat durant cette période.

8. Détailler le profil de la société

...

A l'inverse, une petite structure offre des plans de carrière rapides. Vous faites alors le pari de progresser avec elle. A condition qu'il ne s'agisse pas, comme le souligne Régis Granarolo, du Munci, d' « une jeune SSII sans spécialisation créée récemment par opportunisme ». Entre l'anonymat des grandes structures et le risque posé par les petites, l'idéal reste, selon lui, « une SSII de taille moyenne, spécialisée dans le décisionnel, par exemple ». La liste des clients référencés constitue un autre indice. A priori, l'industrie ou l'Administration offrent des projets plus longs et plus variés que la banque, connue pour multiplier les missions en régie.

9. Comparer la rémunération par rapport au marché

« Quitter une SSII pour une autre ne présente aucun intérêt si l'augmentation de salaire n'est pas d'au moins 20 %, tranche Régis Granarolo. La bougeotte est mal vue sur un CV. Surtout si, à terme, on souhaite rejoindre une DSI. Par ailleurs, abandonner une SSII en cours de projet sans motif sérieux peut nuire à votre réputation. Le monde des SSII est petit. » Si le salaire est l'objectif numéro un, autant devenir travailleur indépendant.

Pour vérifier si le salaire proposé correspond aux prix du marché, vous pouvez interroger un comparateur en ligne de rémunération, comme Suisjebienpaye.com ou Salaires-informatique.info. Mais pour comparer ce qui est comparable, il convient de prendre en compte la rémunération globale en intégrant les primes, part variable, intéressement, épargne salariale, treizième mois, ou nombre de jours de RTT. Sans oublier les hausses de salaires promises et, si possible, contractualisées. « Cette hausse doit être d'au moins 5 % à la fin de la première année », estime Régis Granarolo.

En revanche, n'acceptez pas d'être payé illégalement par le biais d'indemnités forfaitaires de frais. Comme leur nom l'indique, ces indemnités ne tiennent pas compte des dépenses réellement engagées, et peuvent donner lieu à redressement fiscal. Un employeur digne de ce nom vous rembourse sur la base des dépenses réelles - transport, hôtel, restaurant... - avec, bien sûr, des maxima.

10. Prendre en compte les évolutions de carrière

Les sirènes du marché sont tentantes. Se vendre au plus offrant peut toutefois se révéler préjudiciable par la suite. « Il faut développer un plan de carrière raisonnable, estime Régis Granarolo. Etre propulsé d'emblée consultant ne rime à rien. Pour dispenser un conseil, il faut avoir engrangé au moins quatre ou cinq ans d'expérience. » Ivan Béraud, de la F3C CFDT, prône, lui aussi, la modération. « Avant de penser à changer de SSII, étudiez les possibilités de mobilité en interne. » Dans le cadre, déclaré ou non, d'un prérecrutement, une SSII est en mesure de représenter un tremplin pour rejoindre une DSI.

En entretien, testez la capacité de votre interlocuteur à envisager votre avenir, et dérouler un plan de carrière sur le moyen ou long terme. Evolution rimant avec formation, assurez-vous que vous serez correctement formé. Les SSII affirment couramment dépenser 4 ou 5 % de leur masse salariale en formation. Cependant, selon une récente étude de l'Opiiec, seuls 38 % des développeurs ont été formés au cours des trois dernières années, pour une durée moyenne de trente jours.

Profitez de votre période d'intégration pour demander une formation d'appoint de trois à cinq jours sur un logiciel, par exemple. « La plupart du temps, elle est acceptée », constate Régis Granarolo. Vérifiez que le DIF est bien mis en place. Par ailleurs cherchez à savoir si l'ingénieur en intercontrat travaille sur des projets internes, s'il suit des cours en présentiel, s'il se forme seul, ou s'il reste chez lui. Une chose est sûre, si la SSII dispose d'un centre de formation interne, elle en proposera plus facilement. "

lundi 21 mai 2007

Tableau de bord

http://www.piloter.org/methode-BPM/tableau_de_bord_management.htm

"
Comment espérer progresser lorsque la direction suivie est secrètement gardée ?

Au coeur de l'entreprise classique, les femmes et les hommes n'ont qu'une connaissance très partielle des critères de performance en vigueur. La plupart du temps d'ailleurs, ils n'ont qu'une vague idée de leurs missions. Pourtant, ils doivent agir et s'engager. Régulièrement, le management évalue les résultats et donne son véto : sanction ou gratification. C'est seulement à ce moment précis qu'ils sauront s'ils ont agi correctement ou non.
Comment, dans un tel contexte d'arbitraire, peut-on demander aux hommes d'être motivés et prêts à prendre des risques ? Cette approche archaïque structurant le pouvoir de décision selon une ligne hierarchique arbitraire est contre-productive.

Pour que les acteurs de l'organisation soient prêts à s'engager positivement au sens de l'entreprise il est important de remplacer l'évaluation sanction par une approche coopérative de la mesure du progrès.

Avant de décider il est primordial de disposer de réponses précises aux 4 questions suivantes :
- Où j'en suis ?
- Où dois-je aller ?
- Comment je vais y aller ?
- Quels sont les risques ?"

Entreprise2.0



Outils collaboratifs :
- basecamp : http://www.basecamphq.com

- calendrier collaboratif : http://www.backpackit.com/

- gestion des contacts : http://www.highrisehq.com/

- Goplan (concurrent basecamp) : http://goplan.info/
- fogbugz (http://www.fogcreek.com/FogBugz/),
- jira (http://www.atlassian.com/software/jira/)
- confluence (http://www.atlassian.com/software/confluence/)
- huddle (http://huddle.net/)

http://www.ed-productions.com/leszed/index.php?structurer-sa-documentation

http://www.travailleursduweb.com/index.php?tag=microsoft


- Twiki : http://twiki.org/

- Les 3 catégories des outils du Knowledge Management : les logiciels de travail collaboratif, les logiciels de gestion de projet ou de la production, les logiciels de CRM.

mercredi 16 mai 2007

Certifications, Qualité : un enjeu pour nous ?

Pour les SSII :

- Iso 9001
- CMMI (seulement pour le développement ou les Centres de Services ?)
- ITIL

dimanche 13 mai 2007

Les clefs d'une intégration réussie

http://www.cerclerh.com/editorial/integration_collabo.asp

"Restitution de l'enquête menée
pour le cabinet Monique Lévy Conseil
par Florence Arnoux, titulaire d'un DESS de psychologie du travail et des organisation, Bordeaux II
Consultez son CV
Il s'agissait en effet d'une réflexion que souhaitait le cabinet concernant l'intégration des nouveaux collaborateurs dans leur entreprise, ainsi que d'une perspective d'outillages consacrés au suivi d'intégration.
Notre travail s'est donc découpé en 3 parties :
- Synthèse des travaux précédents concernant l'intégration professionnelle
- Enquête auprès des responsables d'intégration et des nouveaux collaborateurs intégrés
- Conclusions et propositions d'actions pour le cabinet.

Art.1: Théories et travaux précédents sur le thème de l'intégration professionnelle
Art.2: Résultats de l'enquête : les éléments facilitant l'intégration professionnelle
Art 3: Résultats de l'enquête : les éléments freinant l'intégration professionnelle
Art.4: Discussion sur les résultats de l'enquête "

mercredi 9 mai 2007

Fin de la consolidation : SAP rachète Outlooksoft

http://www.decideo.fr/Fin-de-la-consolidation-SAP-rachete-Outlooksoft_a2025.html

"Fin de la consolidation : SAP rachète Outlooksoft

En deux mois le marché du reporting financier et de la consolidation a basculé ! Après le rachat de Hyperion par Oracle début mars, celui de Cartesis par Business Objects il y a deux semaines, c'est au tour de SAP qui rachète aujourd'hui le seul éditeur international encore indépendant : Outlooksoft.

Fin de la consolidation : SAP rachète Outlooksoft
Initialement créé par d'anciens dirigeants de Hyperion, Outlooksoft avait bousculé le petit monde du décisionnel financier en proposant une véritable plate-forme globale de gestion de la performance. Très proche de Microsoft, Outlooksoft avait bénéficié de l'essor de ce dernier dans le décisionnel avec la sortie de SQL Server 2005, mais son avenir s'assombrissait avec la perspective du lancement des offres applicatives financières de Microsoft dans le reporting et l'élaboration budgétaire.

Il y a deux mois, Pierre Barreaud, qui dirige Outlooksoft en France semblait écarter l'hypothèse d'un rachat : « [je] reste optimiste et [je] considère que la concentration du marché ne touchera pas Outlooksoft. Nous avons un excellent produit et nous souhaitons poursuivre notre action s'appuyant sur notre plateforme unique et intégrée. Notre objectif est d'aller vers l'introduction en bourse », publiions-nous à l'époque.

Ce n'est manifestement pas la voix suivie par les dirigeants et actionnaires de l'entreprise qui ont préféré confier leur sort à l'éditeur allemand, numéro 1 mondial des progiciels de gestion.
Cette acquisition démontre l'intérêt de SAP pour le marché du décisionnel, très complémentaire de son cœur de métier dans l'ERP, sur lequel il n'a pas l'intention de permettre à ses concurrents de prendre l'initiative. Un intérêt démontré en début d'année par le rachat de Pilot Software
Le rachat de Hyperion par Oracle il y a deux mois a donné le signal. Le nombre important de clients communs entre Hyperion et SAP imposait à ce dernier de ne pas laisser impunément entrer le loup dans la bergerie, et de se battre à armes égales (ERP + décisionnel financier) avec Oracle. Plutôt qu'une introduction en bourse couteuse et risquée, les dirigeants de Outlooksoft ont choisi une transaction rapide, dont le montant n'a pas été dévoilé. Un rachat qui ne dépend que de l'accord des autorités de surveillance de la concurrence aux Etats-Unis, mais qui ne devrait pas soulever de difficultés importantes.
Avec ce rachat, le marché des progiciels indépendants de gestion de la performance financière de l'entreprise s'éteint.
Philippe Nieuwbourg"

mardi 8 mai 2007

Exemple annonce de recrutement

http://www.jmp.net/wordpress/?p=360

"

Witbe recrute …

En fait nous avons toujours un oeil ouvert sur de vraies opportunités, des gens de talent, motivés, qui veulent se lever le matin (:-) ) mais parfois les choses ne sont pas possibles. Aujourd’hui elles le sont et nous avons plus de 7 postes ouverts :

  • en CDI (et oui)
  • quelque soit le poste, payé > au SMIC,
  • au sein d’une société à fort potentiel, avec un véritable projet marquant et d’envergure, amenant à travailler avec des entreprises de toutes tailles (de la startup à la multi nationale, de Total à Hermès, de Pixmania à Meetic, de Netvibes à TF1, de France-Télécom à Neuf, de Darty(box) à Télé2 …) dans 30 pays dans le monde …
  • dans un cadre idéal (un des plus beau et petit (7 étages) immeuble de la Défense, dans un endroit “safe”, à 1 mn à pied du RER, de la Fnac, du marché de Noël sur le parvis quand c’est le moment et de Mac Donald MAIS avec un restaurant d’entreprise …),
  • entourés de collègues sympathiques, compétents et dynamiques.

Tout de suite, les points qui peuvent amener à réfléchir et à décourager les indécis :

  • le président ne laisse pas indifférent …
  • le management a des idées bien précises du niveau minimum de service et de qualité à atteindre …
  • USER CENTRIC et donc CUSTOMER ORIENTED, dans un soucis d’excellence technique et de scalabilité
  • pragmatisme et esprit de synthèse préféré aux théoriciens et aux rhétoriciens
  • niveau d’anglais > 0 … c’est pour cela que je mets pleins de termes anglo-saxon :-)
  • niveau d’exigence >> 0 (NDLR: nonchalence, j’m'en foutisme, ca marchera demain, cela ne marchera jamais, le client n’a rien compris, mon collègue est un c.. …. on oublie)
  • SSII ou mercenaire oriented,
  • pas de billard, baby foot, sauna, hammam,
  • pas de funky management,
  • si pas cablé comme ça, pas la peine, on va se faire du mal à moyen terme et ce n’est pas le but :
    • implications, motivations,
    • AIP (Attitude Intérieur Positive),
    • compétences certaines (au moins dans quelque chose),
    • aptitude à évoluer et apprendre vite,
    • esprit de groupe, envie de faire partie d’une aventure que l’on travaille a caractériser comme grande
    • moyen / long terme

C’est ICI que cela se passe …"

dimanche 6 mai 2007

Les pointures SAP manquent à l'appel

http://www.01net.com/article/344433.html

Les pointures SAP manquent à l'appel
Cabinets de conseil et SSII recrutent en 2007 des centaines d'experts SAP. Un casse-tête, car profils pointus et directeurs de grands projets font défaut.

Clarisse Burger , 01 Informatique (n° 1893), le 21/03/2007 à 07h00

Les intégrateurs auraient-ils pris le train en marche ? Ils ne disposent plus aujourd'hui d'assez de spécialistes SAP capables d'appréhender les nouveaux enjeux des entreprises et de diriger des projets qui gagnent en complexité. De fait, il devient de plus en plus difficile de trouver de bons experts SAP sur le marché français. Quant aux managers de projets internationaux, ils se font rares.

La situation devient critique. Car les entreprises réinvestissent dans le PGI. « On est reparti dans une période de croissance de projets SAP », confirme Ludovic Grillet, directeur national SAP chez Capgemini France. En forte croissance, les grands comptes doivent réajuster leur système informatique à l'échelle mondiale jusque dans leurs filiales, et harmoniser leurs processus métier.

Pénurie chez tous les intégrateurs

Les grands cabinets de conseil, qui formaient auparavant ces pointures, n'en « produisent » plus autant. Pendant les années noires 2002 et 2003, les projets autour des PGI ont été gelés, les consultants envoyés sur d'autres missions, et les licences de SAP laissées sur étagère.

Aujourd'hui, les carnets de commandes de ces cabinets explosent : il faut caler du SAP sur de multiples architectures. Et ce, en n'importe quel endroit du monde. Trouver les bons profils relève du casse-tête. IBM, Bearingpoint, Capgemini, Atos Origin, Sopra, ou encore Euriware prévoient de recruter cette année des centaines d'experts afin de répondre à la demande. « Nous manquons de grands patrons SAP, gérant des équipes de 300 consultants, mais aussi de seniors qui construisent les solutions fonctionnelles, et d'architectes techniques pour définir le paysage système autour du PGI », déclare Ludovic Grillet, de chez Capgemini. La SSII recherche ainsi 400 consultants à moyen terme, dont 40 à 50 % de seniors.

De son côté, IBM table sur le recrutement de quelque 300 consultants d'ici à 2008. « Des opérationnels ayant de trois à cinq ans d'expérience, que nous formerons à la technique », annonce Eang Ang Ong, responsable des pratiques SAP chez IBM GBS (Global Business Services) pour la France et l'Afrique du Sud. Cette stratégie de recrutement découle du manque de bons profils techniques. « La pénurie est aussi liée aux nouvelles offres », estime Joël Templier, associé chez X-PM et ancien vice-président du cabinet CSC, chargé des solutions SAP. Hier, étaient recherchés les experts métier sachant paramétrer R3 et modéliser les processus. Aujourd'hui, la mise en place de la nouvelle architecture Netweaver exige aussi de fortes compétences technologiques. « Nous sommes en quête de consultants SAP et NTIC pour réaliser des développements Java et Web » , confirme Ludovic Grillet.

Des indépendants qui tuent la filière manager

Difficile, donc, de trouver ces directeurs de projets au fait des dernières technologies SAP, et capables de piloter de grands projets. On en compterait environ 500 sur le marché français. Soit une dizaine en moyenne par cabinet de conseil ou SSII. Pour sa part, SAP France dispose aujourd'hui d'une trentaine de gourous. « Il en faudrait davantage pour accompagner notre croissance et pallier le turnover », reconnaît Isabelle Saviane, DRH de SAP France. Des profils rares qui sont facturés très chers : autour de 1500 euros la journée !

La pénurie touche aussi les consultants seniors ayant plus de cinq ans d'expérience et une expertise métier (finances, achats, production). Faute d'avoir pu évoluer vers d'autres spécialités ou se former au management, nombre d'entre eux ont quitté les cabinets de conseil pour s'installer à leur compte. Le mouvement s'est d'ailleurs accentué ces dernières années. « C'est un microcosme très actif en France et en Angleterre. Je reçois beaucoup de CV émanant de ces profils, évalués à 450 euros par jour », affirme Joël Templier.

Des candidats prisés par les courtiers en CV de spécialistes SAP. « Ce phénomène freelance a finalement appauvri le marché des managers généralistes de grands projets », analyse, pour sa part, Thierry Bouvier, le directeur chargé des pratiques SAP chez Bearingpoint.

Par ailleurs, des consultants ont rejoint les entreprises utilisatrices afin d'assumer des responsabilités fonctionnelles. De ce fait, ils ont disparu du marché du conseil. Ce qui concourt à la raréfaction des ressources. « Le risque de cette pénurie est d'affecter à des projets des candidats manquant d'expertise », s'alarme la DRH de SAP.

La dispersion impose une formalisation accrue

L'entité française recrute cette année une centaine de seniors et de jeunes diplômés, dotés d'un Master en ressources humaines ou en finance, qui seront formés dès leur arrivée. Elle incite les intégrateurs à faire de même. « Les éditeurs, comme SAP et Oracle, lancent des programmes pour aider les intégrateurs à former des consultants », explique Eric Tirelemont, consultant chez Ineum Consulting.

En effet, il leur faudra des profils pointus en termes de technique, et capables de travailler avec des équipes éloignées sur le plan géographique. Ce qui implique de nouvelles méthodes de travail et une plus grande formalisation des tâches. Et donc davantage de temps ! « On ne forme pas un expert manager en deux ans. La gestion d'un projet ambitieux réclame de six à huit ans d'expérience », juge Thierry Bouvier.

La désaffection pour les filières scientifiques et techniques n'a pas arrangé les choses. Depuis plusieurs années, les jeunes diplômés leur préfèrent les formations fonctionnelles. Comme les autres éditeurs de PGI, SAP se rapproche maintenant des écoles scientifiques, et promeut les doubles cursus. Faire l'impasse sur la technique serait une erreur. « Nos clients ont besoin d'être rassurés sur le plan techniquement, rappelle la DRH de SAP France. Dans les prochaines années, on aura besoin de personnes capables d'apprendre et d'inventer en s'appropriant le raisonnement imposé par les technologies. »

Dans un marché du PGI en mutation, les SSII ont intérêt à développer un large éventail de compétences, réutilisable dans le conseil pur, dans les filières techniques, ou dans les directions fonctionnelles des entreprises. Mais il est bien difficile de couvrir un spectre de plus en plus étendu. L'éditeur reconnaît que, même chez lui, « il n'est pas un seul salarié qui connaisse tout SAP ! »